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Land Rover Defender 2020: Vieux nom, véhicule moderne

Au Salon de Francfort, Land Rover a dévoilé un tout nouveau véhicule, le Defender. Le nom, lui, ne l’est pas.

Le Land Rover Defender prend ses racines en… 1948! Eh oui. Cette année-là, Land Rover dévoile la Series I, un véhicule plus carré qu’un frigo (remarquez qu’à l’époque les frigos étaient quand même assez arrondis) et extrêmement compétent en hors route. Ce n’est pourtant qu’en 1983 qu’il prend le nom de Defender, bien qu’il soit toujours étroitement dérivé du Series 1.

Or, ledit Defender revient sur le marché. Et cette fois, il est tout nouveau. En fait, il ne partage aucune pièce de carrosserie avec un autre produit de la marque anglaise. Mais les capacités hors route semblent intactes avec un angle d’approche de 30,1 degrés et de départ de 37,7. En mode Off Road on parle de 38 et de 40 respectivement.

Sous le capot, on retrouve un 2,0 litres turbo de 296 chevaux ou un V6 3,0 litres de 395 chevaux et 406 livres-pied (Si vous avez bien lu, c’est un ou l’autre, pas les deux en même temps). Land Rover ne parle pas d’un rouage 4×4 mais plutôt d’une intégrale, quoique fort sophistiquée. Son système Terrain Response possède, on s’en doute, un mode Off Road très performant pour les rares qui décideront de faire du VRAI hors route. Et par VRAI hors route, on ne veut pas dire la route recouverte de deux pouces de bouette pour aller au chalet…

Le Defender est offert en deux modèles, deux et quatre portes, le premier s’appelant 90 et le second 110, reprenant ainsi une nomenclature chère à Land Rover. Une version pick up est aussi envisagée. Le niveau de luxe de la version de base pourrait faire rougir une Jaguar. Le niveau de luxe de la version la plus huppée, 110 X, pourrait faire rougir une Rolls-Royce.

Au Canada, le Defender de base coûte 65 300$ tandis qu’à l’autre bout du spectre la facture grimpe à 93 600$.

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